Assurance, placements et assurance collective

Daniel est un Canadien célibataire dans la vingtaine qui envisage de faire l’achat de sa première propriété. À cette fin, il a l’intention d’accroître son épargne au fil du temps, au fur et à mesure que son revenu augmentera. La conseillère de Daniel lui recommande le compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP), puisque ce compte lui permettra d’épargner pendant 15 ans, ce qui convient à son budget et à son horizon. 

La politique monétaire, la croissance mondiale, les enjeux politiques et l’innovation ont fait les manchettes en 2024, et nous nous attendons à ce que ces grands thèmes continuent d’avoir une incidence sur les marchés alors que nous entamons la deuxième moitié de l’année.

Paul Holba, vice-président principal et chef des placements à Placements Empire Vie Inc., aborde certains des thèmes clés que l’équipe des placements surveillera alors que nous entamons la deuxième moitié de 2024.

Amina et Sanjay sont un couple de jeunes Canadiens ayant l’intention d’acheter leur première propriété. Ils occupent tous deux un emploi satisfaisant et ont de bonnes connaissances en matière de finances. Par l’intermédiaire du grand‑père d’Amina, le couple a rencontré une conseillère qui leur a parlé du compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP), et ils sont d’avis qu’il s’agit d’une bonne manière d’épargner pour une propriété. 

Un fonds indiciel est un fonds de placement qui vise à procurer des rendements similaires à ceux de l’indice de référence du marché, en investissant généralement dans les mêmes titres (ou dans un échantillon représentatif) que ceux qui composent l’indice de référence cible.

Bien qu’il puisse être tentant de mettre de côté ses objectifs de placement pour courir après ces rendements, il faut se méfier de cette obsession des tendances, qui peut introduire un niveau de risque déraisonnable dans votre portefeuille.

Nous maintenons une perspective positive quant aux titres à revenu fixe, puisque les taux d’intérêt semblent avoir atteint un sommet, les courbes de croissance affichent un ralentissement (ce qui rend les actifs à risque moindre relativement plus attrayants qu’auparavant), et les rendements ont commencé l’année en force. Nous croyons que cela pourrait provoquer un raidissement de la courbe des taux, qui pourrait même redevenir positive.

Nous prévoyons que la croissance continuera à ralentir en 2024. Au Canada, les taux d’intérêt élevés pèseront de plus en plus sur les consommatrices et les consommateurs ainsi que sur l’activité économique en général. Les taux élevés ont déjà entrainé des effets négatifs disproportionnés au Canada en raison de la dette élevée des consommatrices et consommateurs et de la courte durée des prêts hypothécaires en comparaison avec les États-Unis. En outre, nous prévoyons que le chômage continuera de s’accroître à un rythme légèrement supérieur qu’en 2023. 

En ce début d’année, notre perspective est légèrement négative quant à l’Europe, légèrement optimiste quant à la Chine, et toujours positive quant au Japon.

Les marchés des actions américaines ont affiché une forte volatilité en 2023. Au mois de mars, la faillite de Silicon Valley Bank, un important prêteur dans le secteur de la technologie qui détenait 210 milliards de dollars en actifs, s’est avérée la première d’une série de faillites de banques régionales, laquelle a ensuite touché Signature Bank, Crédit suisse et First Republic Bank. Bien que cet évènement ait entrainé la crainte d’une crise généralisée dans le secteur bancaire, la menace a finalement été endiguée.