La relance budgétaire continue de présenter un risque pour la croissance tant au Canada qu’aux États-Unis. Les obligations d’État restent attrayantes alors que nous entamons le second semestre de l’année. Les détenteurs d’obligations de sociétés ne sont pas autant rémunérés pour le risque de crédit qu’ils prennent, les écarts de taux étant à leurs plus bas niveaux depuis près de 20 ans, bien que les rendements globaux soient attrayants.